Dans le silence,
On pense......
Plongé dans le noir,
Son Ame pour miroir,
Sans le vouloir,
L’esprit veut savoir.
Approche la Connaissance,
Sans la moindre décence.
Les pensées vagabondes,
Abondent.
Et jamais, n'abandonnent.
L’esprit clairvoyant,
Allume les clignotants....
Il reste en éveil,,
Nous réveille.
De petites phrases insidieuses,
Il nous abreuve.
Des images odieuses,
Nous émeuvent……
Un mot,
Un unique mot,
Devient source de maux
Message
"Vous avez un message"
"Vous n’avez aucun message"
Les jours sans message
Les messages étaient pour Elle
Les jours de fatigue
La fatigue était pour Elle
Les jours d’absence
L’absence était pour Elle
Les oublis, certains jours,
Jours de sa présence,
Vos bonjours, votre présence,
Étaient pour Elle.
Lui offriez-vous des fleurs?
Des envolées de rire?
Des bouquets de sourire?
Trouvait-elle une lueur,
Au creux de vos écrits?
Le ciel était moins gris,
Au clair de ses yeux gris.
Vous aimait-elle ?
Vous le disait-elle ?
Lui offriez-vous ces livres,
Qu’elle lirait,
Et dont vous discuteriez?
Lui parliez-vous,
Littérature,
Sculpture,
Peinture?
Nourrissiez-vous des projets
Imaginaires,
Dans ces Mondes
Extraordinaires,
Où nous bâtîmes,
Un avenir planétaire,
Fait de bonheurs primaires.
Vous sentiez vous léger?……
Tous ces mots,
Ces mêmes mots.
Ces images,
Pour enfants pas sages.
Ces caresses,
Pour instants tendresse.
Ces sourires,
Pour que naisse le rire.
Facétie,
Infamie.....
Si seulement.....
Si seulement, les hommes savaient,
S’ils savaient, être vrais
S’ils osaient aimer
S’ils étaient honnêtes.
S’ils arrêtaient de picorer,
De dévaster,
De voler,
De détruire,
De nuire......
S’ils arrêtaient de désirer,
Une nuit,
Juste une nuit;
Un moment,
Doux moment;
Des instants,
Si futiles,
Instants tendresse,
Au cœur de la détresse;
Instants caresse,
Sans la moindre adresse;
Instants bonheur,
Au cœur du malheur.
Peut-être aurions-nous,
Peut-être pourrions-nous,
Etre heureux,
Juste, heureux.......
Peut être, faudrait il,
Le leur apprendre.
Peut-être, suffirait-il,
De savoir attendre,
Que les hommes,
Deviennent des hommes,
Avec un cœur,
Des émotions,
Des sensations,
Des douleurs,
Des souffrances,
Des peines,
Moins de haine,
Peut-être……
Mais…..
Pas un mot
C’est un mot de trop
Pas un mot
C’est un silence de trop
La douleur,
Déchire mon cœur.
Et, quoi que l’on en pense,
Quoi que l’on en dise,
Peu me chaut.
J’ai froid ,
Je suis glacée.
C’est un froid sidéral,
Vide abyssal,
Qui m’engloutit.
La gorge nouée,
Les pensées humides,
Les yeux noyés,
Désespérée.
Personne, ne respecte
Plus, Personne.
Et, j’existe,
Je vis,
Je crie,
J’écris,
J’en ai assez.
Je suis dépassée,
Par toutes ces félonies,
Ces jalousies,
Inepties!
Ces tromperies......
Aucun mot,
Ne serait assez fort.
Le silence……
Ne reste que le silence.
Le temps n’a plus le temps.
Les heures n’existent plus,
Je brûle ma messagerie,
Finies les singeries.
Je la condamne,
Et qu’elle se damne!
Si, seulement,
Si seulement, pour un instant
Je pouvais,
Un instant, juste un instant
Encore, me tromper………
Là, je viens de m’écrouler….
Matin chagrin,
Pour nuit noire et sans fin…..
Et, à la dernière ligne,
Quand le monde s’indigne,
On ne lira qu’un mot,
Je n’écrirai qu’un mot
Ce sera le mot Fin.
Tracé du bout de ma plume
Trempée dans le rouge carmin
De mon sang
Seule réponse aux mots Assassins
De ces êtres malsains.....
BWS
Si je vous dis que ces mot sont nés de trois mots entendus....Je n'en reviens pas moi même....Ce n'était pas du tout prévu.....Enfin, j'aime toujours autant écrire la nuit, d'ailleurs j'écris surtout la nuit.
Il paraît que c'est peut être bientôt la Fin du Monde! C'est en tous cas la fin d'un Monde.
Par contre, c'est bientôt Noël, je vais essayer d'être plus légère....Mais, j'ai deux autres textes en cours, qui.....
Ou j'attends l'année prochaine et je raccroche! Hum, pas prévu non plus....Mais.........Je parle, mais....Pour cette nuit, j'arrête et je publie ....
Arrivederci! A presto! Au revoir! A bientôt!
Hasta la vista! A la proxima vez
Auf Wiedersehen, Goodbye, See you later or.....