9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 08:24

 

 

Le temps inexorablement a poursuivi sa route
 

 

Je reste seul, sur le chemin
 

 

Seul, face à mon destin
 

 

Mes espoirs n’ont plus cours
 

 

J'ai défié le Malin
 

 

Seuls subsistent mes os, enfouis dans ce trou noir, 
 

 

Le temps a passé et les a dispersés.
 

 

Mais, que font-ils ici ?
 

 

On les a assemblés sans la moindre harmonie 
 

 

Autour d'un axe qui se veut arrondi
 

 

Voulait on réaliser une cage dorée
 

 

Mon cœur s'est soulevé
 

 

Dans ma tombe, je me suis retourné
 

 

Au bord de l'asphyxie
 

 

Je gis, évanoui
 

 

Mes poumons desséchés
 

 

Je ne peux plus respirer
 

 

De moi, l'on a fait
 

 

Une cage dorée
 

 

Où la vie ne sait plus comment s'exprimer
 

 

Plus la moindre liberté
 

 

Chacun y est emprisonné
 

 

............ 

 
Plus la moindre énergie
 

 

Plus un souffle de Vie
 

 

Seules subsistent les traces
 

 

De la vie qui s'efface
 

 

Dernier trophée, à la vie, arraché
 

 

Quelques plumes, sur mes os fatigués
 

 

J'en frémis, ahuri
 

 

Mais j'avais oublié, je suis Mort
 

 

Cette cage abritait mes dernières pensées.

 


BWS 09092013 .....Plus de mots

 

 

 

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 00:53

 

 Nous avons tous vu un jour ces vieux couples, ceux qui ont duré, sans que l'on sache trop comment.

Ne vous est-il jamais arrivé de surprendre les regards qu'ils échangent?

C'est parfois si pur, il y a tant d'amour, qu'à les regarder, on pourrait les imaginer, jeunes amants.

Les avez-vous écoutés parler l'un de l'autre?                      Avez-vous vu ses yeux la regarder???

J'ai toujours été fascinée par ces regards échangés.

Je les ai écouté décrire leur âme soeur, j ai été stupéfiée, de qui parlaient ils???                                                                                                                       C'était elle, sans l'être, la description qu'ils en faisaient étaient celle du passé......L'amour avait-il figé l'image à jamais, je me le suis demandée.....Et.....

J'ai écrit, ce qui suit....

 

 

 

 

Elle 

 

 

A ses yeux elle n’avait pas pris une ride

 

Quand il la dessinait,

 

Elle était toujours, assise au clair de lune.

 

Elle avait vingt ans,

 

Vingt ans, depuis si longtemps,

 

Que le temps semblait, l’avoir oubliée.

 

Etait-ce pure mélancolie ?

 

Ou son amour, hors du temps

 

L’avait à tout jamais, dans son esprit, figée ?

 

Il la regardait,

 

Et ses yeux riaient.

 

C’était hier, ils étaient si jeunes,

 

Si jeunes et déjà amants.

 

Il la regardait,

 

Et elle souriait.

 

Il avait vieilli,

 

Le temps avait dessiné,

 

Sur sa peau parcheminée

 

L’histoire du temps passé….

 

La voyait-il vraiment,

 

Comme un jeune amant

 

Ils n’avaient plus vingt ans,

 

Et ça, depuis bien longtemps.

 

Quand il en parlait,

 

Folie du vieil amant

 

Il semblait avoir oublié,

 

Que le temps, sur elle, s’était posé,

 

Modifiant,la beauté de ses traits,

 

L'habillant de tous leurs moments,

 

Ecrivant leur histoire au fil des ans.

 

 BWS

 

S’il avait pu savoir

 Qu'un jour il ne la verrait plus

Telle qu'elle est, mais telle qu'elle était

L'aurait-il regardait plus

L'aurait-il observée

Pour sur sa peau dessiner

L'amour qu'il ressentait

Pour chacun de ses traits

Que le temps caressait

Et marquait

De Son Trait

 

BWS

 

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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 22:18

 

 

 

      Le silence, parfois, s'installe,


Nécessité ou drame,


Refuge ultime.
 

 

Ivresse de cette liberté,

 

 

Que l’on croit maîtriser.

 

 

On s’y cache,

 

 

S’y ressource,

 

 

On Observe ce qui se trame.

 

 

Le silence pour seul juge

 

Peut  être un refuge

                                     

Dont on devient, prisonnier.

 

Un silence, qu’il faut parfois briser

 

Pour renaître et exister

 

 

 

BWS

 

Quelle surprise de retrouver ce texte sur mon blog, je l'ai écrit il y a environ un an, je l'avais programmé et totalement oublié.....

 

 

Je viens de le reprendre, en le modifiant un tout petit peu.

 

 

C'est étrange comme les mots sont parfois si justes qu'ils nous rattrapent pour habiller notre présent.

02 09 2013

 

 

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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 00:55

 

 

C’est comme un anniversaire

 

Ce jour-là, chaque année, il frappe à ma porte

 

Est-ce le diable qui ici ses pas portent

 

Je ne sais……….

 

Que penser…….

 

Justement, j’y songeais….

 

Ma main, comme dans un jet,

 

Noircit cette page blanche,

 

Où finit l’innocence,

 

Pour cause d’insolence,

 

Voir d’indifférence…..

 

Dans la nuit, son prénom s’inscrit

 

En lettres Noir désespoir

 

Les années passent, les souvenirs sombres s’ombrent…………..

 

Ce qui s’est écrit dans les cris,

 

Disparaît san bruit dans la nuit.....

 

 

Pour revenir l’année qui suit,

 

C’est l’été, qu’il a choisi………….

 

Mais, qui sait

 

Ce que je penserai, le jour ou la nuit,

 

Où ces mots ne s’écriront plus ?

 

 

 

Que l'amour n'est plus,

 

Que l’amour n’existe plus........

 

Et qu’avec lui, il s’est enfui…………

 

                                                                           ♥♥♥♥

 

Passent les jours et les nuits......

 

 Que la vie ne soit que pure folie,

 

Rien ne remplace jamais,

 

Ceux qu'un jour l'on a aimé......

 

BWS

 

Ca faisait quelques temps que je n'avais écrit......Quelle douce folie.........

Bonnes vacances à tous, c'est l'été ♥

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 22:32

 

Je suis Jaune, je suis bleu

 

Entre lumière et calme

 

Je m’allume, je m’alarme.....

 

Regardez-moi un peu;
 

  Et, au fond de mes yeux,

 

 

 

Entrevoyez les Cieux.

 

 

 

Je suis bleu, je suis rouge,


Mon corps s'éveille et bouge,
 

  Passe du rouge au bleu,

 

S'imprime sur négatif.

Je me "tourne le dos", gesticule, pensif…

 

Regardez-moi un peu;

 

Je vous fais un aveu,

 

Devant mon chevalet,

 

Entre calme et colère,

 

 

 

Sans aucune transparence,

 

Je suis entré en transe…..

 

Je ne vous entends plus,

 

Je ne m’écoute plus,

 

 

 

Je suis couleur,

 

Je suis chaleur;

 

Je suis pinceau,

 

Et par ce sceau,

 

Parfois, un rien mutin,

 

Je signe mon destin.

 

Je suis malheur,

 

Je suis bonheur,

 

Avec honneur….. Je suis …….

 

Mon esprit aux commandes

 

 

 

Jamais rien ne demande

 

Il m’emporte en ce monde où je suis…

 

Le souffle du vent,

 

Le baiser du soleil,

 

La chaleur des amants,

 

Le tumultueux silence,

 

 Le sourire au réveil;

 

Le rire au crépuscule,

 

Lorsque la vie bascule…….

 

Et si mon âme écrit,

 

Sur des toiles vierges,

 

Des histoires en sanskrit.....

 

Je ne peins pas, je vis….

 

Ma palette de couleurs,

 

 

 

Suit mes émotions,

 

 

 

Epouse mes pulsions.....

 

 

 

Est-ce lui, est ce Moi? 

 

 

 

Je suis ici ou là,

 

 

 

Et partout à la fois

 

 

BWS

 

"Je suis" est un homme, c'est en regardant un

tableau, que ces mots ont commencé à s'écrire,

comme souvent, comme toujours, ils ont pris

le pouvoir m'emmenant où ils le

voulaient............

 

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 02:26

 

 

Ce jour-là, la pendule s’est arrêtée

 

Sur des mots trop mal usités

 

On ne peut offrir le même bouquet

 

Le vent l’a écrit.....Quel indiscret....

 

Toujours ......Tout se sait

 

Il ne faut ni jouer, ni se disperser

 

C’est un poignard en plein cœur

 

Qui ne peut être que source de "malcoeur"

 

Comment a-t-on pu oublier

 

Que le verbe aimer

 

Ne sait se conjuguer qu’à deux?

 

A cette minute, tout s'écroule, entre eux deux......

 

La tempête a été si violente,

 

Un tsunami, une mort lente,

 

Personne n’en est sorti intact,

 

Il a trahi votre pacte....


La confiance n’est plus,

 

Reste la défiance, rien de plus,

 

Lucifer en ricane encore..........

 

Elle n’a toujours rien compris,

 

Elle qui le croit éprit.....

 

Pendant que les requins salivent.....

 

Comptent les points, notent les scores,

 

Au final, de la chair fraîche et du sang,

 

Leur fournira un fabuleux festin…………

 

La promesse d’un avenir serein

 

N’est plus qu’une erreur de destin   

 

BWS

 

La confiance est la seule puissance

 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 22:39

 

Je me suis ces temps-ci, un peu éloignée du net...........      

  Ah, ce lieu qui manque pour le moins de transparence, et où les plus bas instincts de "l'homme" se révèlent, plus fort, car  tout n'est que virtuel, n'est-ce pas?                                   C'est ce qu'ils disent, c'est plus facile, mais alors, qui est derrière cet écran??                

Une machine??? Quoi? Un être vivant ?? Non!!!!

On peut tout se permettre pensent certains.....

 

L'homme retourne à l'état Animal et Dieu qu'il peut être laid.......

 

Il y a quelques exceptions, quelques rares, trop rares exceptions, des êtres humains, des vrais et ça fait du bien!!!

 

Je lisais ce soir les mots qu'un homme a écrit sur "internet" et justement, aujourd'hui, je pensais entre autre à un texte que   j'ai publié sur un site il y a deuxou trois ans, un texte qui a fait un buz qui m'a surprise, irréel pour le moins et inattendu; ou vice versa, pourtant c'est loin d'être mon meilleur texte, mais, que de réactions.....

J'ai commencé à répondre à l'auteur de ces mots sur et finalement, je les dépose ici, et j'y rajoute mon texte.........

 

Le net est une fenêtre ouverte sur un monde pas toujours très “net”.... 

Le web n’est qu’un bal maqué où des individus avancent cachés pour la plupart, pseudos, faux visages, des images qui n’existent pas d’individus qui parfois se croient intouchables, et osent tout et n’importe quoi, pensant que l’écran et les méandres du net, leur assurent l’impunité et l’invisibilité…….Agressivité, méchanceté, drague........

Quand l'on écrit, l'on s'expose.......

Tout y passe, ils ne reculent devant rien, fausses adresses IP changées à volonté pour donner le tournis……J’ai vécu ça un temps, une femme qui me rendait chèvre  et visait quelqu’un d’autre…….

 

Tout est possible ou presque, même si on peut tracer et  reconnaître ces petits malins…Si virtuels, mais tellement prévisibles. Je m’égare…..Même sur cette page où je me suis arrêtée……Dans ce néant du net, un instant juste un instant………..

 

On peut si facilement effacer......La magie de ce lieu……Enfin, il paraît......

Ou le côté tragique ou tragi-comique, tout effacer, hum...

Enfin, certains le croient……….                                  Comme ils croient pouvoir effacer d'un trait les êtres humains, non pardon, Virtuels...…                                  

                Messieurs, Mesdames, j'ai le regret de vous informer que vous n'existez plus, vous n'êtes que virtuels.........           Donc, vous n'avez aucune consistance et l'on peut, certains le pensent en tous cas, tout vous dire, "tout vous faire", puisque vous n'êtes PAS....

 

Vous n'êtes plus que des marionnettes, on tire vos ficelles, mais vous n'avez aucune émotion, aucun sentiment et bien sûr aucune imagination, aucune pensée, aucune réflexion, n'ayant pas de cerveau donc...........

           Des robots en quelque sorte??? 

Je me demande si je ressemble à un robot??? 

Une minute, je vérifie, Aie!!! 

Je viens de me pincer, j'ai eu mal, Je suis Vivante!!!....

Zut, l'on m'avait dit tu es "Virtuelle", tu ne ressens donc rien ...Erreur...

 

Vous l’aurez compris, une fois de plus, je suis en colère contre certaines personnes qui doivent elles, être de vrais robots.........Pour moi, vous le savez, il existe des êtres humains, des vrais avec un cœur, des émotions, des sentiments, des bonheurs, des peines, derrière ces écrans noirs....

 

 

Surtout ne pas penser, pour ne pas exister…..         Bienvenus dans la vallée des Ombres, où l’homme n’est plus depuis longtemps……….Il n'est plus qu'un animal, un homme des cavernes version 2013!

 

 

Dans ce Monde de fantômes, certains commentent, et quels beaux commentaires, d’autres restent muets, ou vous saluent...........Gentil mais.....

Là j'en viens au Commentaire...


J’ai toujours préféré les vrais “rares commentateurs” et les “muets” à ces salutations qui m’affligent …..                      Quel Monde que celui-ci où l’on vous tient la main, ou pire…..

 

 

Bienvenus au

"Bal des Commentaires"

 

Parlons du commentaire 

Ou comment se taire

Ou comment faire taire

Mais alors, le comment taire?

 

Facile et très pratiqué,

Par des individus habitués,

Qui seraient prêts à vous "tuer"

A force de polémiquer......

 

Partout où l'on semble déranger

En ordre discret, ils viennent se ranger

Et passent, tour à tour, vous démonter

Sauf que, pas question de (vous) me priver, de liberté

 

Combien j'en ai vu passer,

Prêts parfois pour d'autres à se sacrifier....

Eux souvent ont été virtuellement effacés,

Moi, je suis restée, à qui se fier?....

 

A ceux, qui loin de se taire,

Savent ce qu'est un commentaire,

Et qui au lieu de vouloir vous faire taire,

Tapent à votre porte pour votre commentaire....

 

Tout en ouvrant les yeux,

Les deux, c'est un peu mieux....

Je suis au regret de vous dire,

Qu'à vouloir me faire taire, vous me donnez à dire.....

 

Et croyez-moi l'important,

Ce qui pour vous compte autant,

Pour moi est sans aucune importance,

Je préfère qu'on me lise et que règne le silence......

 

 

2010 je crois BWS

Et malheureusement rien n'a changé, ni le commen(t) taire, ni ces êtres qui se croient tout permis.........Et que je ne salue pas.......Je suis un peu en colère.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 20:32

 

Il m’a ôté mes crayons de couleurs

 

 

M’interdisant ainsi, tout droit au bonheur.....

 

 

Désormais, je n'eus droit qu’aux crayons de colère, 

 

 

Pour dessiner des lettres aux contours éphémères....

 

 

Sur une feuille blanche de papier Canson,

 

 

Je fis exploser toutes mes émotions.......

 

 

Avec application, je traçais les contours,

 

 

De ces lettres qui un temps, étaient lettres d’Amour….

 

 

Perdue dans la douceur de cette "clarté obscure",

 

 

Elles ne dessinent plus que mes pensées trop pures…..

 

 

Au cœur du silence, les mots se font musique,

 

 

Pour habiller l’espoir d’un fond tragi-comique….

 

 

Et mes pinceaux noirs tracent encore et encore,

 

 

Sur une feuille papier un fabuleux décor....

 

 

Mon cœur éclate et vole en mille éclats

 

 

Sous le noir crépuscule qui sonne ici le glas………

 

 

 

BWS

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 01:16

 

Dans ce train qui partait au petit matin

 

Pour un long voyage miroir

 

Aux confins de l’émotion et des sentiments

 

Limite ineffable

 

Entre Espoir et désespoir

 

Pâle reflet; ces âmes affables

 

Embarquèrent avec grand entrain....

 

 

Dame Nature embrumée

 

Sur un fauteuil s’est installée…..

 

Enrubannée,

 

De ses drôles de vers à l’envers,

 

De ses souvenirs de Vauvert,

 

Et de son accent de Pivert…..

 

Ses mains espèrent un amant,

 

Et son ventre attend un enfant……

 

Elle est celle qui déambule, dans ces parcs où les oiseaux

 

Piaillent, en attendant le printemps…….

 

Dans ce kiosque à ciel ouvert, trône un piano…….

 

La pianiste jouera t’elle, se jettera-t-elle à l’eau ?

 

Enfilera-t-elle ses bottines de cuir Rouge

 

Version “New Age….. Moulin Rouge”?…………………

 

Face à ce sacré "Rouge gorge",

 

Reviendra-t-il d’entre les morts,

 

Pour la peindre toute en émotion,

 

Toulouse Lautrec au bord de sa " post impression"………

 

 

Voilà qu’arrive en toute hâte,

 

De peur de manquer son train,

 

La Princesse des temples hindous,

 

Toute juste rentrée du pays "Vert rizière"....

 

Les yeux bleus verts, un rien bridés,

 

Du Pays du soleil levant ou des années….

 

La tête pleine de souvenirs amers,

 

Serait-ce des images des khmers Rouges

 

Qui l’habillent couleur Rouge colère……

 

Elle prend place, pour le face à face,

 

Avec la Dame de l’autre côté du R(h)in(g)

 

 

C’est alors que sans y penser, sans crier gare,

 

Le regard perdu, un rien hagard,

 

Et sans le moindre hasard,

 

La belle et exquise Marquise,

 

Décida que sa présence ne serait pas de mise…..

 

Si bien que quitte à y laisser sa chemise

 

Elle trouva que la partie serait remise……..

 

Elle vit le train partir au loin,

 

Et resta sur le quai, dans sa robe rouge carmin…..

 

Elle aurait pu avec son chien,

 

Partir au bord de la Tamise,

 

Ou qui c’est, peut-être à Venise………..

 

Sauf, que si elle avait du chien,

 

Elle n’avait pas de chien.....

 

Elle poursuivrait son chemin,

 

Le cœur léger……Aérien…..

 

Et sans se mettre au piano

 

Elle prendrait l’eau,

 

Chaude et mouillée, sur sa peau.

 

BWS

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 23:10

 

 

 

 

J'ai eu comme une envie

  

Qui frôlait la folie

 

J’ai jeté en colère

 

Les couleurs éphémères

 

Les instants du "bonheur"

 

Sur les instants "malheur"

 

 .....Plus la moindre aquarelle

 

Oubliés..........Mes pastels....

 

J’ai peint de grands traits noirs,

  

Sur une toile blanche.

 

 

Au bord du précipice,

 

Naquit un cataclysme.....

 

 

Voilà l'apocalypse,

 

Le moindre des supplices.....

 

Au bord de l’horreur,

 

Au comble de la fureur,

 

J'ai planté mes pinceaux......

 

 

Ma toile, mise en morceaux,

 

 

Plus aucune blancheur,

 

Juste la froideur......

 

 

Déchirée,

 

 

Déchiquetée,

 

 

 

Une toile en miettes....

 

 

Mon cœur n'a rien de Ludique,

 

 

 

 

Reste ma fureur, avec son air pudique!

 

 

 

 

BWS    

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