C’est un monde éphémère
Qui ne connaît ni Dieu ni Terre
Où l’on renierait bien père et mère
Sans verser la moindre larme amère.
C’est un lieu où il se terre.
A vivre coller le nez par terre,
Oubliant ses bonnes manières,
Il perd sa volonté toute entière.
Ici, il manque de savoir faire
Et ouvre ses portes de l' enfer.
Dans ce lieu qui l’indiffère
Il a éteint toute les lumières
Et dans son âme,
Vide et amer,
Il vit ses drames,
Aucune trace de mystère.
Il gaspille ses instants de vie,
Que seule la vie, lui envie,
Tant il se dénie et se dédit.
Il cherche ses couleurs de verre,
Pour déchirer sa toile primaire
Il voudrait se souvenir du sourire éphémère,
De celle qui savait toujours, que dire et quoi faire....
Il l’ignore, mais il espère ce mystère,
Qui seul saura animer ses dessins,
Et ouvrira les portes de son destin
Ainsi, il habillera sa vie des couleurs de sa chair……Chère……
BWS