BwS

La vie suit des chemins pavés de mauvaises rencontres

Ici était le début                                                                                  http://my-butterfly.over-blog.fr/article-motique-64710899.html      

 La suite est là.....

Accepter

La vérité

S’avère souvent fort délicat

Et peut causer bien des tracas.....

Voyons, qu'imaginez-vous qu'il advint à la fin? 

Mise au point et au final, on écrivit le mot Fin!

      Silence, on tourne,

Les minutes s'envolent, je me retourne.....

Rembobinons; cette histoire débute il y a des années,

Des mots épars, explications amorcées en un temps

Jamais il n’eut le courage de prendre le temps

D’aborder simplement sa vie, manque de temps? 

Les jours passent, tout semble tellement suranné. 

Point positif:

L’incident domo "tique" est classé

Devenu ringard, il a été largeme ment surpassé

A un point tel que j’ai été, totale ment, dépassée

Point négatif:

Hier il m'incriminait, depuis il refuse "mes mots". 

En avais-je le droit, d’où me venaient ces mots?

      Au fil des ans, sa vie avait été totalement bouleversée

Devenue tragique, son scénario tourna vite au mélodrame

L'harmonie n'était qu'un leurre, ici se jouait un drame

La carapace avait craqué, le présent rattrapait le passé 

      La coupable démasquée n’était pas restée sur mon dos.

Elle avait d’autres visées; les voilà désormais "dos à dos".

      Lui qui sans sourciller, s’était accordé

Le droit de me juger, me condamnait 

Sans m’accorder la moindre liberté

Il prononçait ma mise à mort, j'étais désormais damnée.

      Coup de tonnerre,

Au goût amer,

Echec est mat,

En trois mots, j'étais pat.

 Je viens de saisir le pourquoi

Au fond, tout n'était qu'une question de temps

Pour que ce qu’elle m'écrivait, avec le temps,

Efface ce qui était devenu tellement obsédant,

Pour devenir à tout jamais, mon présent.

      Privée du droit d’expression

J’aurai du faire attention

      Tout garder pour moi? 

Qu'en pensais-je, moi ?

Je ne devais pas penser, je devais me taire,

Je n’avais aucun autre droit, rien à faire....

      Je devais supporter son juge ment

Ne jamais présenter aucun amende ment

Aujourd’hui je le sais, peu importe qui ment

Tout s'écroule, inexorable ment, lamentable ment

      Depuis que j'ai compris

Ce qui lui a pris

Je les laisse "régler leurs comptes" 

Je ne fais plus les frais de leur règlement de comptes

      Aujourd'hui, je sais véritablement ce qui compte

Je tourne le dos, je pars, "laissée pour compte"

      Je quitte l'arène

Tristesse en ciel de traîne

    J'attendais des réponses 

Quelle surprise se fut!

Je fermais ma porte, refusant qu'il m'enfonce

Grâce à son arrogance, qui l'eut cru?

  Il m'ouvrit les yeux

Douloureux aveu, 

N'en déplaise à Dieu

Je méritais vraiment mieux

  Avec de tels "amis"

Je préfère garder mes rares ennemis

Et vous laisse mes "rares faux amis"

 Je sors du noir, je me réveille

A la vie je reviens, je m’éveille

Je suis sortie de mon sommeil…………

Le ciel a perdu son bleu, il est en veille....

  Les derniers mots s'écrivent, la page se referme, 

L'histoire suit son cours mouvementé et va mal se terminer

J'ai dû fermer mes yeux, je devais me détourner

De celui qui ce jour-là, à tort m'avait condamnée............

Bella

Ceux qui me suivent depuis quelques temps savent que j'avais rencontré des personnes que j'appréciais beaucoup.

L'une d'entre elles était alors mon "autre moi", ma sœur jumelle, mon double......Une personne rencontrée par le biais de la toile alors qu'elle traversait un parcours qui se rapprochait du mien.

Etant la même partout, derrière un écran comme dans la "Vie", j'ai toujours du mal à imaginer que les gens se cachent, jouent un personnage, surtout quand ils se livrent, dévoilent leur sensibilité, depuis je sais qu'il faut rester vigilant.                

En règle générale j'évalue assez rapidement ceux à qui j'ai à faire.

Tricher, mentir, utiliser ou manipuler l'autre, nécessite une attention constante; à ce jeu-là, rare est celui ou celle qui tient la distance. Un jour ou l'autre c'est le faux pas, des mots qui se contredisent, ceux que forcément je verrai.

Bien sûr, avant, il y a les premiers indices, ceux que l'on note sans y penser, que l'on met de côté, sans vouloir s'y attarder.

Un jour, il flottait dans l'air une sensation étrange, il fallait que je sache qui j'avais en face de moi, quel était son véritable visage, j'essayais depuis des jours, elle esquivait.

Ce jour-là, je ne me suis pas contentée de mots superficiels, j'ai appuyé sur les mots qui n'avaient jamais eu de réponse, je ne lui ai laissé aucune échappatoire.                                                    Je savais qu’elle serait incapable de se contenir alors que je lui demandais de m’expliquer son comportement, je voulais savoir, cette fois il n’y aurait aucune "pirouette de sortie", j'ai été jusqu'au bout, insistant calmement; elle s'est déchaînée, emportée, l'heure était venue .........Patatras, tout avait été dit!

J’essayais de l’arrêter j’avais mes réponses, beaucoup utilisent l’hypocrisie sociale c’est leur droit mais avec ceux que ça intéresse moi, ça ne m’intéresse pas, elle le savait.

Elle me mentait sur des points sans intérêt alors que je ne lui demandais rien, pire sans avoir à chercher j’avais sous les yeux la preuve de ses mensonges puérils…

Elle était dans un déni et me  reprochait de vouloir la changer, la contrôler, le plus  drôle c’est que ses soit disant amis la plaignait  ......Moi, je la connaissais, elle me parlait, me laissait en plan des heures au milieu d’une conversation, partie ailleurs, ou disparaissait pendant des jours voir plus, j’attendais qu’elle m’appelle à l’aide c’est ainsi que ça marchait dans 99% des cas.

Mon rôle était d’être là pour elle, pas l’inverse et ça m’allait.

Je lui disais "c'est fini, j'arrête".....Elle continuait......

Je ne suis pas rancunière, je pardonne facilement.

J'ai mes limites, pour les atteindre il faut aller loin, ce jour-là, mes limites ont été atteintes.

Mes limites dépassées, la coupure est franche et nette, tout se brise, je me ferme totalement quelle que soit ma souffrance. Jamais je ne reviens en arrière.

La suite est sans intérêt, elle a été très loin, ces mots courent encore sur la toile, j'en croise parfois; huit mois je crois et elle continue.

Je l'évite, la vie est ailleurs pas dans des mots dignes de cours de récréation ou de bacs à sable, je l'y laisse, je respire ailleurs, j'ai d'autres lieux ou me promener et tant mieux mais je la plains de continuer ainsi, elle doit être bien vide, elle est si pleine d'aigreur "d'avoir été démasquée".

Elle était importante à mes yeux, ce jour-là, même si j'ai eu mal, elle est devenue Rien, plus rien.                                           Pour moi, elle incarne l'hypocrisie, la méchanceté gratuite, la trahison, elle m'attaque sur tout, jusqu'où va-t-elle encore se rabaisser? Là, c'est son problème, ça ne m'intéresse plus.

Elle est sûrement malheureuse, le ciel laisse couler ses larmes. 

Alors voilà, le pseudo que j'ai utilisé longtemps ici ou ailleurs, décliné avec d’autres atours, venait d'un "surnom" qu'elle m'avait donné et qui au fond me convenait....Je ne le renie pas, je le laisse se reposer…..

Je ne peux modifier le nom de mon blog, il reste attaché à « Butterfly fly away», qui est tellement Moi

"Butterfly fly away" une ballade que j'ai tout de suite adoptée de Miley Cyrius

Mais ce n'est qu’un début, j'ai décidé de faire une croix sur Butterfly qui n'était "qu'un de mes pseudos", j'en ai pris un autre Bella BW Swann, un mélange de Twilight que j'ai découvert et aimé au cinéma et de Black Swann que j'adore et connais depuis l'enfance, même si la dernière version est juste époustouflante.

Bella c'est aussi ainsi qu'une "amie poète" ici me nomme, c'est quelqu'un que j'aime beaucoup mais avec qui mes rapports sont différents et de qui je ne crains aucun changement, on se croise de temps en temps, on s'apprécie mutuellement, quoi qu'il se passe Bella restera le diminutif d'Isabella et la référence à un personnage et non un adjectif qualificatif, je préfère préciser.

Pourquoi un mélange un peu étrange? Simplement pour trouver un pseudo non utilisé. Bella BW SWANN il faut bien qu'il soit unique quelques instants....

Je voulais vous dire pourquoi j'ai changé de pseudo.....C'est une façon de plus de refermer ma porte sur ce passé dépassé et totalement révolu, une façon d'en finir avec celle qui est sortie de ma vie......Et plus tard quand j'aurai le temps, j'ouvrirai d'autres blogs avec d’autres noms, je manque juste de temps pour le moment. 

CHANGEMENT DE VIE

Changement de vie

Moment non choisi

Source inavouée de mon envie

Visage aux couleurs cramoisies

J'abandonne sur un banc

Mon passé aux couleurs du temps

Je me tourne, tout est blanc

Je prends mon envol, pour longtemps.

Butterfly quitte son nuage

Et part sans prendre ombrage

Vers une vie qu'elle veut sans nuage

Du soleil, du bonheur, elle s'y engage

Butterfly, seule, sur son nuage

Une nuit dans un rêve, fit un songe

Elle se rebellait, mettant fin à leurs mensonges

Sa vie changeait, elle l'avait décidé, doux présage

Bella a pris possession de mon être et de mon âme

Je l'accepte, je m'incline et rends les armes

Désormais, elle coule dans mes veines, est en Moi

Désormais je me suis trouvée, je suis forte, je suis Moi

Le cygne blanc est une part de moi

Entre blanc et noir, je ne veux plus osciller

J'ai pris mon envol; et sans jamais ciller

Je me suis mariée, n'en déplaise au Roi

Quand à cette pauvre Reine qui bien mal lui en prit

Sur moi, s'acharna, pure folie, à force, j'en ai ri

Ces quelques mots croisés auraient dû me blesser?

Que nenni, Pauvre reine égarée, abandonnée, délaissée. 

Bella

La colère est mauvaise conseillère

Un jour, il faut s'en défaire

L'avenir naît sur les braises du passé

De ce qui me fait mal j'ai décidé de me passer....

 04 05 2011

Irénée était bien née 

Elle avait une vie prédestinée 

Mais, qui suit sa destinée?

Celui qui y croit dur comme fer?

Ou celui qui laisse faire? 

Je me suis égarée?

Non, moi, mais où j'irai?

Allez, recommençons

Irénée est un garçon

Et oui, un mâle

Dans toute sa splendeur 

Qui ne faisait pas le mal

Car Irénée était grandeur

Irénée de Lyon

Était non pas un lion

Mais Évêque de Lyon....

Vous le saviez?

Moi, je l'avoue, je l'ignorais

Jusqu'à ce que j'ai flairé

Ce que l'on nomme un faux ami, 

Cadeau de notre maîtresse d'école et amie

Donc il est des être prédestinés

Irénée

Persécuté

Privé de liberté

Évêque de Lyon

Puis martyr de Lyon

Devint Saint Irénée ...... 

 (poésie rapatrié dans ma communauté)

Léone quel prénom aux sonorités oubliées

Oubliée comme elle l'était

Etait née, s'était presque une obligation, en Sierra Leone

Leone aurait pu être une lionne

Lionne qui aurait parcouru les Forêts

Forêts qui s'étendaient sur une grande partie de son pays

Pays qu'elle ne connaissait que très peu

Peu lui importait, elle rêvait

Rêvait d'une vie aisée

Aisée comme celle de ces exploiteurs de mines de diamants

Diamants qu'elle extrayait

Extrayait à la sueur de son front

Front noir ébène

Ebène comme la couleur de sa peau toute noire

Noire, elle l'était de la tête aux pieds

Pieds qui souffraient tant elle travaillait

Travaillait de longues heures 

Heures qu'elle passait de l'aube à la tombée de la nuit

Nuit qui passait trop vite

Vite car déjà le soleil se levait

Se Levait tôt pour l'envoyer travailler, c'était sans fin

Fin qui semblait ne jamais devoir arriver.....

Arriver à trouver, Dieu qu'elle en rêvait, ne serait ce qu'un diamant

Un diamant que pour elle, elle garderait

Garderait pour s'offrir cette vie tant imaginée

Imaginée, même fatiguée, elle caressait ce beau rêve

Rêve qui bien sûr ne devint jamais réalité

Réalité qui fut triste 

Triste car elle en mourut

Mourut sans avoir obtenu son bout de paradis

Paradis qui ne fut pas pour elle

Elle fut enterrée sous terre dans un drap blanc

Drap blanc sur sa peau noire à jamais

Jamais elle n'avait eu la bonne couleur de peau

Peau qui avait précipité sa perte

Perte de tous ses rêves et de sa vie 

Vie de bonheurs simples et de tant de malheurs

Malheurs qu'elle affronta toujours avec honneur.

Petit acrostiche sur le même thème pour me détendre

Loin, très loin d'ici

En Sierra Leone, elle naquit

On la crut soumise, docile elle qui était si affable

Non quelle grave erreur, elle était indomptable

Elle lutta toute sa vie pour partir très loin d'ici.

BWS

      mon premier dans cette communauté comme il était bon de se livrer à cet exercice...10 11 2010

Au départ j'ai utilisé une autre figure de style que j'affectionne  

Tromper l'ennui, 

Oublier la solitude

Le temps d'une nuit

Juste un doux prélude

Pas de mélodie

Sans le savoir

Sans le vouloir

Tout avait été dit.

Oublier les heures

Ne plus penser au temps

Ne prendre que les instants

La vie aux couleurs d'un leurre

Les minutes s'éternisent

Aimer n'est plus de mise

Le temps s'est arrêté

Quelques heures d'éternité

Rêver, tout est permis

Ecrire tout se délie

Jamais ne se dédie

Aimer n'est pas permis

Au fil de la nuit

Des mots, tant de mots ont été dit

Une étincelle, il freine, s'enfuit

Des mots errent seuls, dans la nuit

Le temps d'une nuit sans fin

La vie s'est habillée de couleurs

Confessions intimes, douleurs

Un prélude qui signait sa propre fin

BWS